Des espérances et désespérances
Je ne lui dirais jamais "je t’aime" ; je ne veux gâcher tout le plaisir de garder en moi ce jardin secret. Quand je l’observe, j’ai de la tendresse dans les yeux, à en pleurer de joie.
Un sourire, son sourire, son regard, et le bleu océan de ses yeux me transforment.
C’est un amour qui coule doucement. Il coule longtemps pour ne jamais s’arrêter. Et lorsque cette larme d’amour se perd dans les sillons de mes sentiments, je la cueille, scintillante.
Elle fait partit de mes étoiles parce qu’elles sont proches et loin à la fois. Plus tard, les poètes amoureux me croiseront dans le ciel, ouvriront la porte d’un jardin, comme le mien, car je souhaite de tout cœur, que d’autres femmes et hommes puissent le cultiver aussi.
Cet amour me rappelle une musique, son corps que je caresse, que j’effleure tendrement, a la saveur des notes et des rythmes qui m’emportent.
Quand le chant pénètre dans la musique, cet amour en moi s’exprime.
Je découvre ce qu’est Aimer. C’est beau, c’est divin, comme une lumière douce qui vous guide sur un chemin.
C’est beau dans le verbe et dans les mots.
Quand on aime vraiment, on peut partir avec le sourire et remercier la vie de l’avoir rencontré.
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maele